L'école villageoise de l'espoir

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Il est très important de donner une chance aux enfants,
Et comme l’écrivait Antoine de Saint-Exupéry dans Le Petit Prince : « Il faut exiger de chacun ce que chacun peut donner »

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Nous aimerions
vous parler

Nous aimerions vous parler d’un endroit longtemps méconnu et qui fut l’ultime continent prospecté dans ses parties les plus reculées et inaccessibles.

Nous aimerions vous parler d’un pays qui fut sans doute l’un de ces derniers endroits oublies.

Nous aimerions vous parler d’hommes et de femmes qui vouent leur vie à la cause des autres, des plus faibles et des plus démunis.

Nous aimerions vous parler de ces enfants qui parcourent chaque jour jusqu'à 5 kilomètres à pied pour se rendre à l’école, de ces enfants de familles modestes qui ont la chance toutefois d’apprendre à lire et à écrire.

Nous aimerions vous parler enfin d’un homme exceptionnel, un homme d’Église qui est l’un de ceux qui permettent à la Centrafrique de connaitre enfin la paix, une paix fragile, mais une paix en devenir.

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Écoutez les mots du Cardinal

L’Afrique centrale fut longtemps ignorée par le colonisateur européen.

Lorsque celui-ci réalisa que les sous-sols des six pays que composent cette région étaient riches en minerais divers, l’intérêt naissant est rapidement devenu nécessité. Mais comme on le sait toutes et tous, les populations locales n’ont jamais été associées aux résultats de ces découvertes, et il y a un pays plus que tout autre, pour lequel cette vérité est révélatrice de pauvreté et d’abandon, la République centrafricaine.

Oubliés les financements internationaux, oubliés les financements publics et autres financements de bienfaiteurs occidentaux !

Ce pays et sa population doivent aujourd’hui se débrouiller seuls pour financer leur développement et les nombreux projets d’infrastructures ; cela commence par l’école. C’est ainsi qu’un homme s’est levé.

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Brigitte & Bruno Izamo

Un homme d’Église qui a tout d’abord œuvré de toutes ses forces spirituelles et physiques pour ramener la paix à la suite d’une guerre civile dévastatrice.

Le Cardinal Dieudonné Nzapalainga, plus jeune prélat du Collège des cardinaux, s’est engagé avec un courage sans pareil, dans le dialogue intercommunautaire et inter-religieux et a ramené à la raison les principaux bellicistes à l’origine du conflit qui ravage le pays depuis 2013

Cet extraordinaire pouvoir de conviction et cette volonté farouche de paix l’ont poussé à poursuivre sa mission en s’occupant de la jeunesse, cette jeunesse délaissée chez laquelle germe souvent un besoin de revanche, et dont il faut extraire l’ivraie.

Un projet d’envergure nationale est désormais porté par ce prélat. Des dizaines d’écoles villageoises sortent de terre. Les premières sont déjà en activité dans la lointaine périphérie de Bangui. L’une d’entre elle a retenu notre attention : l’École villageoise Saint Matthieu de Samba, à 16 km de la capitale.

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Cette école accueille aujourd’hui 447 élèves, âgés de 4 à 12 ans, tous issus du milieu rural.

L’établissement est constitué d’un unique bâtiment de plain-pied, d’une surface de 200 m², construit en briques artisanales, et dans lequel 3 salles de classe accueillent à tour de rôle ces enfants de 8 heures du matin à 16 heures.

L’une des difficultés est l’éloignement de nombreux élèves qui doivent parcourir jusqu’à 5 kms à pied chaque matin afin de se rendre à l’école. Le retour, le soir, se fait dans des conditions extrêmement dangereuses. La nuit, marcher le long des pistes empruntées par des camions et autres véhicules de fortune relève du risque absolu pour des petits de 4 à 8 ans.

La saison des pluies rend l’exercice encore plus périlleux.

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Sophie au milieu des enfants

En conséquence, il a été décidé de construire une seconde aile à l’école, afin de concentrer la classe sur les matinées, et permettre ainsi aux enfants de rentrer chez eux de jour.

Ce second bâtiment sera mis à disposition à la prochaine rentrée des classes, en octobre 2022.

Il permettra également d’augmenter la capacité d’accueil. Pour autant, de nombreuses familles démunies désireuses d’y inscrire au moins un enfant de leur foyer, ne pourront le faire.

Et voici donc l’objet de cette cagnotte en ligne à laquelle nous vous proposons de participer, à la hauteur de vos moyens et de vos souhaits, afin de financer la scolarité de ces enfants selon trois options :

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La cagnotte

Pour aider les enfants, cliquez sur l'un des boutons - Je veux donner - qui sont reliés aux spiritains.org, partenaires solidaires du projet,
N'oubliez pas de préciser dans votre message "École Saint Matthieu de Samba" avant de faire votre don. Merci à vous 🙏

Financer un an de scolarité

Le montant annuel de la scolarité d’un enfant de l’école Samba est de 40 €
(soit 26.000 francs CFA)

Cette option vous permettra de suivre la scolarité de l’enfant dédié et de recevoir des nouvelles régulières de son évolution et de ses résultats scolaires

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Financer un uniforme

L’uniforme permet d’éviter les discriminations et parfois même de simplement habiller un enfant en haillons. Son montant est de 30 € (soit 20.000 francs CFA)

Vous recevrez une photo de l’enfant qui recevra ce don extrêmement précieux

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Financer l’équipe pédagogique

Cette équipe est actuellement composée de 10 enseignants et cadres administratifs. Le coût annuel de cette équipe est de 19.500 € (soit 12,8 millions francs CFA), soit un coût de 2166 € par mois sur 9 mois de scolarité, soit un salaire moyen de 216 € par mois et par personnel éducatif…

Participer à cette option (prix libre), vous permettra de recevoir un message de remerciement personnalisé de l’équipe pédagogique.

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